🎯 Ne soyez plus cyber-victime, devenez cyber-acteur : un MOOC gratuit pour vous former à la cybersécurité

🔐 Un MOOC pour tous : accessible, clair et efficace

Intitulé “MOOC – Les bases de la cybersécurité”, ce cours gratuit en ligne est conçu pour les débutants, les professionnels non techniques ainsi que les petites structures souhaitant mieux se protéger.

Au programme :

  • Les fondamentaux de la sécurité numérique
  • Les principales menaces (phishing, ransomware, ingénierie sociale…)
  • Les bonnes pratiques à adopter au quotidien
  • Des exemples concrets de failles et d’attaques
  • Comment sécuriser ses mots de passe, ses emails, ses appareils

Le format est progressif, vulgarisé, et illustré, avec des quizz et des exercices pratiques pour tester ses connaissances. Aucun prérequis technique n’est nécessaire.

👉 Lien vers le MOOC gratuit : https://www.cyberini.com/p/mooc-cybersecurite

🧠 Pourquoi suivre ce MOOC ?

Ce cours est une excellente porte d’entrée vers la cybersécurité. En moins de 3 heures, vous serez en mesure :

  • D’identifier les menaces les plus courantes
  • D’adopter les bons réflexes pour vous protéger et protéger votre entourage
  • D’initier une démarche de cybersécurité dans votre entreprise ou votre association

Que vous soyez artisan, commerçant, freelance, salarié ou simplement curieux, ce MOOC vous apportera des connaissances concrètes et utiles au quotidien.

💡 L’avis de ProtegeTonWeb.fr


📣 Partagez cet article à vos proches et collègues ! Ensemble, faisons reculer la cybercriminalité en renforçant notre culture de la cybersécurité.

Besoin d’aide pour sécuriser votre activité ? Contactez-nous pour un diagnostic gratuit.

Les Outils Préférés des Hackers : Ce Que Vous Devez Savoir pour Mieux Vous Protéger

1. Le Flipper Zero : le “couteau suisse” des hackers

Ce petit appareil compact, ressemblant à un jouet, est en réalité un outil multifonction redoutable. Il permet d’interagir avec une grande variété de systèmes sans fil : RFID, NFC, Bluetooth, infrarouge, signaux radio, et plus encore.

Usages courants par les hackers :

  • Clonage de badges d’accès (salles, immeubles, entreprises)
  • Émulation de télécommandes (barrières, portails)
  • Scan et spoof d’identifiants RFID/NFC
  • Analyse de signaux sans fil (replay attacks, etc.)

Le Flipper Zero n’est pas illégal en soi, mais son usage peut rapidement sortir du cadre légal selon les intentions de l’utilisateur.

2. Les clés USB “piégées” : des périphériques pas comme les autres

Une clé USB laissée “par hasard” dans un parking ou une salle de pause peut être une véritable bombe numérique. Certaines d’entre elles ne sont pas de simples supports de stockage, mais des périphériques déguisés en claviers, appelés USB HID (Human Interface Device).

Fonctionnement typique :

  • Une fois branchée, la clé se fait passer pour un clavier
  • Elle envoie automatiquement des frappes de touches (payload)
  • Ces commandes peuvent ouvrir une console, télécharger un malware, créer un compte administrateur ou désactiver un antivirus

Des outils comme Rubber Ducky, Malduino ou Digispark sont très prisés pour ce genre d’attaques automatisées.

3. Keyloggers matériels : surveiller sans être vu

Les keyloggers matériels sont souvent branchés discrètement entre le clavier et l’unité centrale d’un ordinateur. Certains modèles sont intégrés directement à l’intérieur du clavier ou à une fausse prise USB.

Que peuvent-ils faire ?

  • Capturer toutes les frappes clavier (mots de passe, messages, identifiants)
  • Transmettre les données à distance via Wi-Fi ou Bluetooth
  • Passer totalement inaperçus sans logiciel installé

Dans des environnements professionnels ou publics, ce type de dispositif peut être installé en quelques secondes si l’accès physique n’est pas contrôlé.

4. D’autres outils d’intrusion physique ou logique

  • LAN Turtle / Packet Squirrel : injecteurs réseau discrets pour analyser ou rediriger le trafic
  • BadUSB : firmware modifié sur clé USB pour exécuter du code malveillant
  • WiFi Pineapple : pour le détournement de connexions Wi-Fi et les attaques de type Man-in-the-Middle

Comment s’en protéger ?

  • Ne branchez jamais un périphérique inconnu (USB, câble, accessoire)
  • Mettez en place des politiques de sécurité physique : contrôlez les accès aux ports USB, utilisez des caches ou verrous physiques
  • Désactivez les périphériques HID automatiques dans les systèmes critiques
  • Surveillez les périphériques connectés à vos machines avec des outils comme USBDeview ou USBGuard
  • Formez vos collaborateurs : la sensibilisation reste la meilleure défense contre l’ingénierie sociale

🧠 Attention où vous scannez : les QR codes frauduleux sont parmi nous !

Accrochez votre smartphone… on plonge dans le monde des QR codes frauduleux 🕵️‍♂️

📱 C’est quoi un QR code frauduleux, exactement ?

Le QR code, c’est ce petit carré pixelisé qui a remplacé les cartes de menu au resto et les cartes de fidélité dans votre portefeuille. Pratique, rapide, mais… aussi une porte ouverte pour les cyberescrocs !

Un QR code frauduleux est un code modifié ou créé de toutes pièces par un pirate pour vous rediriger vers :

  • un site de phishing imitant un site de confiance (banque, impôts, etc.)
  • un lien de téléchargement de malware
  • une fausse page de connexion pour voler vos identifiants
  • un formulaire bidon pour collecter vos infos personnelles

Et le pire ? Vous n’avez aucun moyen visuel de savoir où il mène tant que vous ne l’avez pas scanné. C’est comme cliquer sur un lien masqué… mais IRL.


🚨 Quels sont les risques concrets ?

Voici ce que vous risquez en scannant un QR code piégé (spoiler : c’est pas joli-joli) :

  • Vol d’identifiants (email, banque, réseaux sociaux…)
  • Installation de logiciels malveillants (ransomware, spyware…)
  • Abonnement à des services payants à votre insu
  • Usurpation d’identité
  • Perte de données sensibles

Le QR code frauduleux, c’est un peu comme une porte de service laissée ouverte dans une banque : discret, efficace, et personne ne s’en rend compte avant que le coffre soit vide.


🛡️ Comment se protéger (sans devenir parano) ?

Heureusement, on peut se prémunir sans scotcher sa caméra ni jeter son smartphone à la mer. Voici les bons réflexes :

✅ 1. Toujours prévisualiser le lien

La plupart des applis de scan de QR code ou les navigateurs récents affichent l’URL avant d’ouvrir le lien. Si l’adresse ressemble à http://123.456.mesfauximpots.biz, fuyez !

✅ 2. Évitez de scanner n’importe quoi

Un QR code collé à l’arrache sur un lampadaire ou dans un bar douteux ? Posez-vous la question : est-ce que ce QR code a l’air légitime… ou plus louche qu’un pop-up “vous avez gagné un iPhone” ?

✅ 3. Installez un antivirus mobile

Sur Android comme sur iOS, il existe des applis qui analysent les liens scannés en temps réel. Mieux vaut prévenir que restaurer une sauvegarde iCloud de 2022.

✅ 4. Vérifiez la source

Un QR code officiel, c’est souvent sur un support officiel : affiches bien imprimées, sites vérifiés, bornes d’administration. Pas sur un post-it collé à l’arrache.

✅ 5. Désactivez l’ouverture automatique des liens

Certaines applis ouvrent direct les liens scannés. Désactivez cette option : un clic en trop peut coûter cher.


🧩 Le mot de la fin (avec une touche d’humour, promis)


🔐 Besoin d’un audit cybersécurité ou d’une sensibilisation QR-code friendly ?

Chez protegetonweb.fr, on aide les pros comme les particuliers à garder leurs données à l’abri, même des codes à pixels. Contacte-nous, on ne mord pas. Et on ne vous enverra jamais de QR code bizarre, promis juré.